Sarah Bernhardt

Ma Double Vie: Mémoires de Sarah Bernhardt ; voilà un grand roman vécu de 578 pages, sans préambule aucun traçant intelligemment les mémoires de Sarah par elle-même depuis sa tendre enfance; soit dès l'âge de quatre ans...

L'artiste naquit d'une mère de souche hollandaise et elle fut mise en pension très jeune près de Quimperlé au nord de Quiberon chez une nourrice bretonne qui la surnommait "Fleur-de-Lait" ... Pourquoi? La petit tomba de sa chaise haute un beau matin et ce fut dans la cheminée qu'elle atterrit au centre des flammes; elle fut sauvée in extremis; on l'a déposa illico dans un grand sceau de lait cru et miraculeusement aucune trace de brûlures ni cicatrices ne furent jamais vues sur son petit corps...

Des Mémoires d'une simplicité belle; du franc parler de Sarah aux incroyables parcours multiples de cette femme que fut la Divine Sarah Bernhardt.

à suivre




« La vie engendre la vie. L’énergie produit l’énergie. C’est en se dépensant soi-même que l’on devient riche.»
de Sarah Bernhardt

Il serait bienveillant de noter que La Divine avait en prévision un second Tome audit bouquin Ma Double Vie: Mémoires de Sarah Bernhardt ...

Mais l'oeuvre ne vit jamais le jour...

Tous les vrais admirateurs de Sarah autant en théâtre qu'en écriture en furent et en seront indéniablement peinés et je fais partie de tous ceux-ci... Son talent et sa franchise de conteuse littéraire (l'auto-biographie où l'auteur se met à nu ne sera jamais chose facile lorsqu'authentique) s'avèrent d'une remarquable effervescence et de cette Première Partie de sa vie (telle que dite sur papier par elle) je demeure à toujours son admiratrice fervente.

Oui, il existe un magnifique film de la vie de Sarah ... (à suivre)

Évidemment la Seconde Partie de sa Vie nous est raconté d'ici et de là par bribes et photos mais jamais ne sera autant décrite cette vie de femme à la "double vie" que par elle-même.

(Opinions de la Marquise des Loups).










"La vie est courte, même pour ceux qui vivent longtemps. Il faut vivre pour quelques-uns qui vous connaissent, vous apprécient, vous jugent et vous absolvent, et pour lesquels on a même tendresse et indulgence." Sarah Bernhardt