L'envol de l'Epervier

Rappel du premier message :



L’irrespirable.-

J’essaie de distinguer une image angélique,
Des mains douces remplies d’un amour continuel.
J’essaie de dessiner des formes, des articulations
Pour assouvir mes mélancolies sans cesse répétées.
J’essaie de croire à une vision concrète, sublime;
Un parcours charmant, un cœur adorable.
J’essaie d’alléger mes cris, de savoir simplement;
Le malheur, un nuage disgracieux, l’impuissance.
J’essaie de vivre quand même, le trémolo inexplicable;
La rage constante de comprendre l’impossible.
J’essaie de survivre sereinement…
Incapable d’imaginer la fin d’un attachement.
J’essaie quand même, un désir solide de réussir;
Illusion amère d’une tendresse tant souhaitée.
J’essaie Maman d’imaginer de beaux paysages,
T’embrasser fermement, sourire enfin…

André, épervier

Magnifique.

Les Noëls les plus beaux sont toujours les plus simples.

Très beau poème.

Vous avez parfaitement raison et j'ajouterais
avec sincérité, amour, beaucoup d'amour...

Heureuses Fêtes, que le bonheur
vous habite à ravir.

André, épervier

Bonnes fêtes à vous aussi et profitez bien.

Magnifique poème plein d'amour...
J'aime les poèmes de Noël car ils ont une âme...ils offrent l'amour la paix les souvenirs l'espoir....ils nous rappellent que nous sommes simplement des êtres humains...
Bonne année à vous tous...

Vous avez parfaitement raison, c'est un temps de réjouissance,
de réconciliation et d'amour et de sincérité.

amicalement,

André, épervier

Lueur enflammée.-
(Lipogramme, sans la lettre i.)

Un bonheur charmant au gré de mes controverses.
L’étonnant regard, être respectueux.
Échafauder l’extrême, chasser ces âmes perverses.
Atténuer l’ombrage, courage affectueux.

Tenter le respect, souffler un décor enchanteur.
S’en abreuver, yeux clos, soulagement.
Goguenard à la recherche d’une splendeur.
Combler sa chance, souffler ce contentement.

Consommer en secret, l’élégance d’une beauté.
Éprouver douceur, parfum bouqueté.

André, épervier

Exercice difficile mais bien réussi.

Joli texte, Épervier.

Sir Archibald Waters a écrit:

Exercice difficile mais bien réussi.

Joli texte, Épervier.

Merci de votre appréciation,
j'ai bien aimé l'exercice.

André,épervier

Un p’tit conte

Il était une fois un enfant rêveur
Cherchant la beauté, le bonheur
Et quand réalité cajolant l’impuissance,
Il perdit sa tendre enfance.

André, épervier

Formidable, épervier. Comme toujours.

Ce poème me servira de base pour réunir votre anthologie qui sera disponible sur ce forum prochainement.

Ne vous en faites pas, vos poèmes ne sont pas "perdus" ... ils sont aux archives où d'ailleurs ils sont consultables. Je vais les réunir bientôt.

Amitiés.

Sir Archibald Waters a écrit:

Formidable, épervier. Comme toujours.

Ce poème me servira de base pour réunir votre anthologie qui sera disponible sur ce forum prochainement.

Ne vous en faites pas, vos poèmes ne sont pas "perdus" ... ils sont aux archives où d'ailleurs ils sont consultables. Je vais les réunir bientôt.

Amitiés.

Merci de cette attention appréciée,
j'apprécie beaucoup.

amitiés kébécoises,
André, épervier

Très beau texte, simple mais fort en émotion.
J'ai l'impression d'entendre parler de mon fils.
Un évènement perturbant sa vie, lui a fait perdre son innocence d'enfant...

Au fin fond de mes rêves.-

Je piétine l’absolu, le plaisir léger d’un sourire.
Mes pas allégés tracent mes charmes folâtres.
Un rire d’innocence, la pureté de l’expression.
La parole douce, l’accent chaleureux, le bien-être.
Un univers à la mesure d’un cœur apaisé.
Des roses à profusion, l’odeur fine, l’espoir.

Je piétine la sagesse qui m’entoure avidement.
Un blanc sincère s’agenouille, silence extraordinaire.
Pause salutaire, des baisers savoureux, un délice.
Ne plus quitter le merveilleux, s’en abreuver.

J’arrête de piétiner pour contempler la beauté.
Savourer ce mets d’amitié, la suffisance.
Apprécié cette brise, un rêve devenu réalité.

André, épervier

Un conte qui raconte…

Il était une fois un loupiot rêveur au regard imperceptible.
Devant lui, prosternation à la découverte de l’acceptable.
Des images floues, recherche d’une compréhension
Devant la beauté des choses.

S’amuser silencieusement, se créer un monde fabuleux,
La gloire incontestable d’y parvenir.
Un jeu charmant, l’innocence même, un sourire respectueux
Malgré cet âge enfantin.

Il était une fois un adulte devenu amer et inconsolable.
La perte de ses illusions, la rage intérieure.
Un vent mécréant, la déception d’une douceur si désirée.
Château de cartes, l’offense totale, pénible sentier.

Des étoiles chimériques à la mesure d’une déroute.
Il était une fois l’aurore devenue nocturne.

André, épervier

Toujours un plaisir de vous lire, épervier.

Sir Archibald Waters a écrit:

Toujours un plaisir de vous lire, épervier.

Toujours un plaisir de parcourir votre forum.


Heureuse année 2013!

amitiés kébécoises,
André, épervier

 











 





 

 





 





 





 

Magnifique !